Face à la montée en flèche de l’insalubrité urbaine, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a initié une rencontre citoyenne pour repenser la gestion des déchets solides à Brazzaville et Pointe-Noire. L’événement, présidé par Émilienne Raoul le 20 mars, a réuni acteurs institutionnels, société civile et experts afin d’élaborer des stratégies durables et adaptées aux réalités locales.
Durant deux jours, les participants ont analysé les échecs des initiatives passées et identifié les défis persistants liés à la précollecte et au traitement des déchets. L’objectif principal était de formuler des recommandations concrètes à soumettre aux pouvoirs publics.
Dans son discours, la présidente du CESE a souligné l’urgence d’une approche nationale cohérente : « Nous voulons, à travers cette consultation citoyenne, conduire une démarche inclusive qui permet d’associer les citoyens à l’analyse des politiques publiques et au processus de décision ».
Elle a également mis en avant l’importance de la contribution des femmes dans cette dynamique. « Nous les femmes représentons une force que nous ne savons pas mettre au service du bien commun. Je suggère que le rendez-vous du 8 mars 2026 soit celui des femmes congolaises dans l’accomplissement du bien-être de nos concitoyens en donnant à la nation des villes propres », a-t-elle déclaré.
Vers une gestion plus intégrée des déchets
La synergie entre l’État, les collectivités locales, les entreprises et les citoyens est apparue comme un levier essentiel pour une gestion durable des déchets. Un comité de suivi des recommandations sera mis en place par le CESE afin d’assurer leur mise en œuvre et d’accompagner les instances décisionnelles dans l’élaboration de politiques adaptées.
Alors que l’échéance des Objectifs de développement durable (ODD) de 2030 approche, Émilienne Raoul a rappelé que l’insalubrité reste un frein à l’amélioration du cadre de vie. « En 2030, chaque pays devra présenter aux Nations unies le bilan de ses réalisations en matière de développement durable. L’an 2030, c’est dans cinq ans ! Et nous voilà confrontés aux problèmes d’insalubrité dans nos villes congolaises », a-t-elle alerté.
Cette rencontre citoyenne marque ainsi une étape clé vers une gestion plus efficace et participative des déchets solides en République du Congo, avec l’espoir d’un engagement accru des acteurs impliqués.
UNE CONSULTATION CITOYENNE POUR UNE GESTION DURABLE DES DECHETS SOLIDES
Face à la montée en flèche de l’insalubrité urbaine, le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a initié une rencontre citoyenne pour repenser la gestion des déchets solides à Brazzaville et Pointe-Noire. L’événement, présidé par Émilienne Raoul le 20 mars, a réuni acteurs institutionnels, société civile et experts afin d’élaborer des stratégies durables et adaptées aux réalités locales.
Durant deux jours, les participants ont analysé les échecs des initiatives passées et identifié les défis persistants liés à la précollecte et au traitement des déchets. L’objectif principal était de formuler des recommandations concrètes à soumettre aux pouvoirs publics.
Dans son discours, la présidente du CESE a souligné l’urgence d’une approche nationale cohérente : « Nous voulons, à travers cette consultation citoyenne, conduire une démarche inclusive qui permet d’associer les citoyens à l’analyse des politiques publiques et au processus de décision ».
Elle a également mis en avant l’importance de la contribution des femmes dans cette dynamique. « Nous les femmes représentons une force que nous ne savons pas mettre au service du bien commun. Je suggère que le rendez-vous du 8 mars 2026 soit celui des femmes congolaises dans l’accomplissement du bien-être de nos concitoyens en donnant à la nation des villes propres », a-t-elle déclaré.
Vers une gestion plus intégrée des déchets
La synergie entre l’État, les collectivités locales, les entreprises et les citoyens est apparue comme un levier essentiel pour une gestion durable des déchets. Un comité de suivi des recommandations sera mis en place par le CESE afin d’assurer leur mise en œuvre et d’accompagner les instances décisionnelles dans l’élaboration de politiques adaptées.
Alors que l’échéance des Objectifs de développement durable (ODD) de 2030 approche, Émilienne Raoul a rappelé que l’insalubrité reste un frein à l’amélioration du cadre de vie. « En 2030, chaque pays devra présenter aux Nations unies le bilan de ses réalisations en matière de développement durable. L’an 2030, c’est dans cinq ans ! Et nous voilà confrontés aux problèmes d’insalubrité dans nos villes congolaises », a-t-elle alerté.
Cette rencontre citoyenne marque ainsi une étape clé vers une gestion plus efficace et participative des déchets solides en République du Congo, avec l’espoir d’un engagement accru des acteurs impliqués.